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 Yun, Chim Dae

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AuteurMessage
Yun Chim Dae
Patient
Yun Chim Dae

Sexe : Masculin
Nombre de messages : 28
Age : 34
Nationalité : Coréen

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MessageSujet: Yun, Chim Dae   Yun, Chim Dae Icon_minitimeLun 17 Jan - 14:42

Dossier médical


Nom & Prénom- 윤침대 Yun Chim Dae (né 윤진경 Yun Jin Kyung)

Sexe- Masculin

Âge- 21 ans

Nationalité- Coréen

Traits physiques- Cheveux et yeux marrons; corps normalement proportionné; plusieurs cicatrices sont visibles au niveau de la tête, des bras et des jambes causées par les chutes répétitives du patient; une cicatrice plus importante sur la cuisse gauche lorsqu’on l’a opéré après son accident de motocyclette.

Taille- 1m81

Poids- 66kg

Maladie ou handicap physique-

Autres- Passe la majeure partie de son temps assis ou couché sur son lit


Dossier psychologique


Qualités- Déterminé, fidèle, actif, ordonné, leader, etc.

Défauts- Hypocrite, colérique, froid, insensible, etc.

Aime- Les vêtements confortables, moelleux, destinés à dormir; être au chaud, les félins, les animaux nocturnes, les loirs – auquel il s’identifie narquoisement; les sports extrêmes (escalade, moto, boxe, etc.), lire, la photographie, etc.

N'aime pas- Les insomniaques, les bruits forts, son père, qu’on le mette en doute, qu’on le prenne pour un épileptique, qu’on croit qu’il soit somnambule, qu’on pense qu’il s’évanouisse sans arrêt, etc.

Comportement avec les gens- Plus les années passent, plus il se désintéresse des gens et se renferme sur lui-même. Il a peu d’amis et ne les voit pas souvent. Il a avoué avoir peur de s’endormir devant eux, ce qui le gêne dans ses relations avec les autres. Il ne semble pas avoir ce problème avec les personnes plus âgées, dont il ne se préoccupe pas vraiment, éveillé ou assoupi. Dans un environnement moins protocolaire, donc moins stressant, il pourrait possiblement s’ouvrir plus facilement aux autres.

Maladie ou handicap mental- Narcolepsie, hypersomnolence diurne, cataplexie, hallucinations, paralysie du sommeil, mythomanie (?)

Valeurs- Il prétend être intéressé par la préservation de l’image publique, la reconnaissance sociale, le pouvoir social, la richesse, et l’autorité.

Tics- Placer, déplacer et replacer ses cheveux sans arrêt

Passé-

« J’ai toujours détesté les gens qui se plaignent de faire de l’insomnie. Ils n’ont aucune conscience de la chance qu’ils ont. C’est pour ça que j’haïssais ma sœur. Nous étions complètement opposés. C’est le manque de sommeil qui l’a tué et c’est le manque d’éveil qui va causer ma perte. Elle s’est suicidée, ma sœur. Elle était dépressive, elle ne supportait plus de ne pas pouvoir dormir. Elle a avalé une bouteille entière de somnifères, un soir. Sous mes yeux. Elle me hurlait d’arrêter de dormir. Elle hurlait toutes sortes d’obscénités, que c’était de ma faute si elle en était rendue là, et qu’au lieu de m’étendre sur le plancher, j’aurais dû l’aider, j’aurai dû lui tenir compagnie. Puis elle s’est couchée à côté de moi et m’a pris la main. La dernière chose qui est sortie de ses lèvres aura été : Alors… C’est comme ça que tu te sens… »

Appuyé nonchalamment contre le cadre du pied de son lit, le jeune homme, qui semblait à peine sortie de l’adolescence malgré ses 21 ans bien sonnés, replaça ses cheveux d’un geste de la tête. Les inspecteurs se raclèrent la gorge et échangèrent un regard entendu : leur suspect avouait avoir été témoin de la mort de sa sœur et entendait ne rien avoir fait pour l’empêcher de commettre l’irréparable. Pire encore, il avait déclaré spontanément la haïr et ne démontrait aucune tristesse à l’évocation de sa disparition. Le détective en chef nota quelque chose sur un calepin et indiqua à son collègue de poursuivre l’interrogatoire.

« Pourquoi ne pas avoir réagit face à ses agissements, monsieur Yun Jin Kyung? »
« Yun Chim Dae. »
« Pardon? »
« Je m’appelle Yun Chim Dae. Yun Jin Kyung est mon ancien nom. »

L’inspecteur fronça les sourcils et fouilla dans un feuillet en murmurant pour lui-même. Il confirma l’affirmation de Chim Dae d’un signe de tête et lui fit signe de répondre à la question tandis qu’il effectuait des ratures dans son document. Chim Dae… Drôle de nom, quand même : qui penserait à s’appeler « lit »? Quelqu’un qui passe sa vie sur un matelas, songea le policier en observant son interlocuteur. Il gratta encore quelques mots sur son document et, voyant le silence s’éterniser, releva la tête de ses papiers en direction du jeune homme. Le policier découvrit avec surprise que son suspect s’était brutalement assoupit, la barre du lit sous les bras, sa tête pendant dramatiquement vers le sol, comme un pantin à qui on aurait coupé les fils. L’inspecteur se releva d’un coup sec en interpellant son supérieur, qui fumait sur le balcon. Ce dernier, beaucoup plus calme que son collègue demanda d’un ton intéressé si « c’était finalement arrivé ». Sans répondre, le premier homme se rapprocha de l’endormi et commença à le secouer doucement.

« Yun Chim Dae. Yun Chim Dae! Réveillez-vous! »

Les agissements n’eurent aucun effet sur l’inculpé qui demeura tout aussi endormit qu’un ours au milieu de l’hiver. Le chef de police revint du balcon en soupirant.

« Narcolepsie, hypersomnolence diurne, cataplexie, hallucinations et paralysie du sommeil : ce garçon est un vrai loir-minute; et son dossier psychologique est épais comme mon poing. Il tombe endormi, on ne sait pas pourquoi; il se réveille, on ne sait pas non plus pourquoi. Il ne réagit pas bien aux somnifères ni aux excitants; ses états ne sont pas causés par quelques évènements que ce soient mais certains comportements peuvent les aggraver. »

Un sourire s’étira sur le visage de Chim Dae et celui-ci se mit à rire doucement, faisant sursauter le plus jeunes des deux inspecteurs. Le narcoleptique bailla longuement et replaça ses cheveux à nouveau. Il continua la conversation sur le même ton qu’avait employé le policier en chef pour le décrire, quoi qu’un peu plus narquois dans ses intonations.

« Au lieu du brillant avenir qui devait l’attendre, le prometteur Yun Jin Kyung doit délaisser le poste maître aux Yun’s Technology Industries et se retrouve coincé dans sa chambre, humilié et humiliant. On cache ce fils qui tombe endormi durant les conférences de presse, qui dérange tout le personnel des hôtels où il loge parce qu’il a des hallucinations et qui a failli se tuer en démontrant le dernier prototype de motocyclette électrique en tombant évanoui sur le circuit – ou du moins, c’est ce que l’on a pensé à l’époque. »

Il passa un bras entre les barreaux du lit, étirant ses muscles à la manière d’un chat qui s’éveille, les griffes en moins. L’inspecteur accueilli le commentaire avec un petit rire sec : ce n’était pas la première fois qu’il avait à faire à Chim Dae – bien qu’à l’époque, il était de meilleure humeur, n’avait pas bêtement changé son prénom et, surtout, ne s’était pas confiné dans un dortoir. Si la chambre du jeune homme n’avait rien à envier à un hôtel 5 étoiles, le policier se doutait qu’y être emprisonné rendrait n’importe quel être humain amer. Surtout un jeune être humain dans la fleur de l’âge qui avait pour habitude de pratiquer des sports extrêmes, des activités artistiques de précisions et d’organiser des fêtes grandioses pour le seul plaisir de se saouler en compagnie de toute la progéniture aristocratiques de Séoul. Il s’était jeté de son bien haut piédestal sans avertissement, au lendemain de son très – trop? – médiatisé accident de moto. L’échec, la honte, qui sait ce qui l’avait convaincu de s’enfermer dans sa tour d’ivoire? Dès lors, l’état de sa sœur, dépressive, avait empiré à un point tel qu’elle avait commis l’acte dont on tentait de la préserver depuis des années. Et puis, c’avait été le tour de sa mère, la nuit passée. Cela faisait beaucoup de suicides autour d’un seul garçon… On cogna trois coups à la porte et un petit monsieur âgé à l’air sérieux s’introduit dans la pièce. Chim Dae se renfrogna en murmurant quelques paroles de bienvenue. Le plus jeune des policiers se leva d’un bond pour l’accueillir, coupant court au malaise que le discours de son suspect lui avait donné.

« Bonjour Docteur! Comment vous portez-vous? »
« Très bien, merci. Vous bien avez reçu le dossier que je vous ai envoyé, à ce que je peux constater. (Il s’adressa à Yun Chim Dae : ) Comment allez-vous monsieur? »

L’interrogé bailla en haussant les épaules : de quoi le docteur de la famille parlait-il? Est-ce qu’il s’informait de son état mental suite à la mort de sa génitrice ou du développement de sa maladie? Est-ce qu’il s’en souciait vraiment? Il était payé pour avoir l’ait de s’en préoccuper – après avoir décrété que Chim Dae et son trouble était incurable, 6 ans auparavant. Oui, une demi-douzaine d’années avaient déjà passées depuis les premiers signes d’apparition de la maladie, qui n’avait fait qu’empirer avec les années. Chim Dae était devenu socialement inadapté – ou, du moins, s’était caractérisé de la sorte en s’enfermant – l’été suivant ses 18 ans. Si on ignorait toujours ce qui avait causé le désordre dans le sommeil du jeune homme, son docteur estimait comprendre pourquoi les symptômes narcoleptiques – et les autres – devenaient de plus en plus importants avec le temps. Si son patient avait commencé par n’avoir que quelques brefs moments de somnolence diurne (on croyait parfois qu’il s’évanouissait tellement les crises étaient instantanées et de courte durée) mais des symptômes plus complexes .taient apparus au fil du temps. C’était cela qui emmenait les deux policiers dans le quartier général de Chim Dae : son évaluation psychiatrique montrait des tendances de plus en plus violentes envers son entourage durant les dernières années et il semblait très justifié de mener l’enquête en profondeur pour s’assurer que les deux femmes étaient bien mortes de suicide et n’avaient pas été assassinées. L’inspecteur en chef prit la parole à son tour, tournant le dos à l’occupant du lit, s’entretenant délibérément avec son médecin.

« J’aurais quelques questions à poser à monsieur Yun Chim Dae et j’aimerais que vous me confirmiez que ses propos se tiennent, dans toute votre expertise professionnelle. »

Chim Dae lança un regard haineux à son docteur lorsque celui-ci accepta d’aider le policier d’un signe de tête poli. On l’avait acquitté de n’avoir pas porté secours à une personne en danger – soit, sa sœur – pour cause d’incapacité au moment des évènements. Le jeune homme avait dit avoir fait une crise de cataplexie alors que son aînée commençait à monter la voix contre lui. Il avait ajouté que c’était probablement cela qui avait poussée la jeune femme à bout, ce qu’elle considérait comme une fuite dans les bras de Morphée lorsqu’une situation stressante ou inopportune arrivait à son frère. On l’avait critiqué pour sa froideur envers la disparue mais le procès avait fini là.

L’inspecteur sortit un petit magnétophone de sa poche, le montra à Chim Dae et le posa sur la table où son collègue était assis en l’allumant. Une petite lumière verte clignota trois fois puis resta allumée, signe que l’appareil était en marche. Il déclara d’un ton neutre :

« Interrogatoire de Yun Chim Dae au sujet du décès de sa mère, Yun Joo Hee, en date du 14 septembre 2009, 15h26. L’inspecteur chef Park Jung Wan – moi-même – et l’inspecteur sous-chef Kim So Youn procéderont à l’interrogation; le Dr. Choi Kyung Hong sera témoin du procédé. »

L’inspecteur So Youn sortit une nouvelle liasse de papier – le dossier de Yun Joo Hee – et le déposa sur la table. Son collègue continua avec la même voix.

« Décrivez-nous les évènements qui précédèrent et suivirent la découverte du corps de votre mère. »

Chim Dae soupira en regrettant ne pas tomber endormi sur demande, ce qui lui aurait évité de répondre à des questions embêtantes qui le ferait paraître encore plus monstrueux. Il ne pouvait pas non plus se permettre de feindre la cataplexie devant son médecin traitant. Le jeune homme passa ses bras en travers des barreaux de son lit et les croisa, comme s’il suppliait qu’on le laisse sortir d’une cage. Il raconta sa soirée de la veille à voix basse.

« La dernière chose dont je me souvienne avant m’être endormi a été de retourner mon lit contre la porte (il pointa l’endroit d’un geste vague). J’étais énervé contre mère qui était descendu à la cuisine faire changer mon repas pour Dieu sait quel raison. Enfin, donc, lorsque mon souper est arrivé, je m’en suis pris aux servantes et au chef qui, je croyais, n’avaient pas suivit mes instructions. Mère est arrivée sans tarder en hurlant que c’était elle qui avait fait changer le menu. Elle croyait qu’à manger toujours la même chose je deviendrais malade – comme si on pouvait encore empirer mon cas. On a crié tous les deux durant un moment, puis j’ai claqué la porte et poussé le lit contre pour empêcher quiconque d’entrer. Puis je me suis endormi. Je ne me suis réveillé que ce matin, à cause des cris d’une servante. À peine sorti d’ici, j’ai vu le corps de Mère, étendu exactement au même endroit que le corps de Na Yung avait été retrouvé. Elle n’avait rien laissé, pas un seul mot. »

Park Jun Wan hocha la tête, aussi imperméable au drame que l’était son suspect. Qu’il ait tué les deux femmes de la maison ou pas, l’inspecteur ne serait pas surpris. Il avait en face de lui un cas unique, un adolescent frustré qui refusait de grandir et qui s’emmurait vivant dans une solitude consternante. Il avait abandonné l’idée de contrôler son corps et, sans contrôle, ne se permettait pas de vivre en société. L’inspecteur ignorait s’il avait quelqu’un d’admirable ou de cinglé devant lui. Il continua avec ses questions :

« Croyez-vous être à l’origine de… »

Un grand bruit retentit dans la pièce tandis que Chim Dae tombait sur le sol, endormit à nouveau. Il avait glissé sur le côté du lit et s’était cogné la tête contre le plancher en chutant. Le docteur se précipita sur lui. Avec l’aide de l’inspecteur sous-chef, il déposèrent le narcoleptique sur son lit. Ce dernier avait les yeux révulsés lorsque le docteur lui souleva les paupières. Il respirait lentement, comme s’il était au beau milieu de plaisants rêves. Le docteur soupira.

« Il dort bel et bien. Aussi simplement que cela. Ça me consterne toujours autant que les premières fois… »

Un silence suivit les propos du médecin. Il replaça ses lunettes sur son nez, mal à l’aise.

« Vous croyez que c’est nécessaire? Je veux dire… Ce pauvre garçon n’a rien fait de mal. Il semble un peu antisocial et mélange la réalité et ses rêves, mais c’est parce qu’il a peur. Il s’est fait du mal en tentant de se protéger. »

L’inspecteur grogna avant de répondre, peu convaincu du plaidoyer.

« Comment expliquez-vous qu’il prétende que sa mère se soit suicidé de la même façon que sa sœur, alors qu’on l’a retrouvé dans la cour arrière, pendue à un arbre? Soit il ment, soit il croit dire la vérité; dans les deux cas son état est dérangeant. Il s’en est prit physiquement à la jeune demoiselle qui devait changer ses draps la semaine dernière, sous prétexte que ceux-ci n’étaient pas assez propres. »

Le docteur baisse les yeux vers ses pieds, se sentant humilié.

« Si vous me dites, docteur, que vous croyez, en toute honnêteté, qu’il est impossible que ce garçon ait assassiné – consciemment ou non – sa sœur et/ou sa mère, je passerai outre les directives de son père et je lancerai une enquête complète et nous lui ferons passer autant d’analyses psychiatriques que nécessaire. »
« Je… »

Choi Kyung Hong jeta un regard empli de tristesse à son jeune protégé. Il le connaissait depuis sa naissance – et même avant, ayant fait le suivi de la grossesse de Yun Joo Hee – et malgré l’antipathie sèche que lui témoignait le garçon, Kyung Hong s’était attaché à lui. Pouvait-il affirmer connaître tout de Chim Dae? Non, il ne le pouvait pas. Mais il croyait mieux le connaître que ses propres parents. Avait-il le tempérament d’un meurtrier? Le garçon avait fait des rêves si troublants lors des dernières semaines, il dormait plus de 12 heures par jours et se réveillait en sursaut en criant toutes sortes de choses. On avait appelé Kyung Hong lors d’un après-midi où Chim Dae avait fait la crise la plus importante de sa vie et où il avait était victime de fortes hallucinations à son réveil. Le docteur avait été incapable de lui faire dire ce qu’il avait vu et le narcoleptique avait refusé d’avaler quoi que ce soit durant 36 heures. Le sous-chef coupa le silence :

« On a retrouvé ses cheveux sur la scène du crime. Il y en avait non seulement sur les vêtements de la femme, mais aussi sur la corde. »

Un hochement de tête de la part du médecin ponctua l’accusation à peine voilée. Pourquoi était-il ici si Chim Dae était déjà condamné? D’une voix éteinte, il répondit ce qu’on attendait de lui.

« Embarquez-le. »

Autres- Le patient, de par sa condition, présente parfois des ecchymoses, principalement au niveau de la tête, des coudes et des genoux.


Dossier criminel


Crime(s) commis - Acquitté une première fois pour le meurtre de sa sœur, un deuxième jugement sera prononcé sur le meurtre de sa mère et une révision du premier procès sera faite. Yun Chim Dae ne sera pas présent au tribunal car il sera en « détention préventive » au CSHÉMAS.

Matricule- YCD5683

Personnage sur l'avatar- Kim Bum (Kim Sang Beom)

Code de validation- YCDP

NDA: En coréen, comme dans plusieurs autres langues asiatiques, le nom de famille est nommé en premier lors de la dénomination d'un individu. Donc, le prénom de cet individu est Chim Dae et son nom de famille est Yun.
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Dr. Clarence Millet
Directeur du CSHEMAS
Dr. Clarence Millet

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Age : 47
Nationalité : Français

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MessageSujet: Re: Yun, Chim Dae   Yun, Chim Dae Icon_minitimeMar 18 Jan - 12:33

Cher monsieur Yun,

C'est pour nous, le personnel du CSHEMA, un grand honneur de vous accueillir au sein de notre grand et magnifique institut. Nous espérons que votre séjour médical vous sera aussi agréable qu'à nous.

Cordialement,

Dr. Clarence Millet, directeur et psychiatre en chef du CSHEMA
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Yun, Chim Dae

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